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Encerclée, soumise à un déluge de feu, l'enclave rebelle est inaccessible. Mais l'accumulation des éléments laisse peu de doute. Des dizaines de civils ont été retrouvés, foudroyés sur place, ce qui ne « colle pas » avec un bombardement classique. « Comment expliquer que 600, 700, 800 victimes arrivent à l'hôpital, avec la même symptologie respiratoire ? », souligne l'anesthésiste Raphaël Pitty, de l'UOSSM.

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