« Nos salariés locaux n’ont pas pu toucher leurs salaires pendant quatre mois. Ils ont décidé de fermer le centre. On les comprend », se désole Ammar Chaker, le secrétaire général de l’UOSSM France. En cause, les retards pris par la banque de l’UOSSM à opérer les virements. « La banque a souhaité vérifier que chaque salarié n’était pas sur une liste antiterroriste ou de type Interpol. Il a fallu fournir les pièces d’identité de tous les salariés à chaque virement. Or, on en a plus de 2 000. Autre chose inédite : la banque nous demande de justifier des dépenses qui n’ont pas encore été engagées »,poursuit M. Chaker.
14 avril 2018 - L'Obs : Attaques chimiques de Douma : le rapport d'évaluation qui justifie les frappes françaises
Il n'y a donc pas une, mais une multiplication de "recours à des substances toxiques" qui ont fait l'objet de communications d'ONG "habituellement fiables", écrit le ministère : notamment la "Syrian American Medical Society" (SAMS) et "Union of Medical Care and Relief Organizations" (UOSSM).
Read more14 avril 2018 - L'Ardennais : Frappes occidentales contre la Syrie... Et après ?
«Où est le bénéfice d’une telle action des Occidentaux si cela ne mène pas à l’arrêt immédiat de toutes les violences et crimes perpétrés envers les populations syriennes?», s’insurge le médecin français Raphaël Pitti, un responsable de l’ONG française l’Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM).
Read more12 avril 2018 - France Info : TRIBUNE. "Refuser de voir l'évidence est un déni d'humanité" : la colère des médecins de guerre face à l'immobilisme de la communauté internationale en Syrie
Face à cette nouvelle escalade de violence, le médecin de guerre Raphaël Pitti pousse un cri d'alarme : il appelle la communauté internationale à respecter le droit international humanitaire et reconnaître l'état de catastrophe humanitaire en Syrie. Avec ses collègues anesthésistes-réanimateurs Ziad Alissa et Anas Chaker, membres de l'Union des organisations de secours et des soins médicaux (UOSSM), ils décrivent une situation d'urgence extrême en Syrie et appellent les gouvernements à cesser leur "hypocrisie". Ils s'expriment ici librement.
Read more10 avril 2018 - Ouest France : En Syrie, l'emploi de l'arme chimique se banalise
Encerclée, soumise à un déluge de feu, l'enclave rebelle est inaccessible. Mais l'accumulation des éléments laisse peu de doute. Des dizaines de civils ont été retrouvés, foudroyés sur place, ce qui ne « colle pas » avec un bombardement classique. « Comment expliquer que 600, 700, 800 victimes arrivent à l'hôpital, avec la même symptologie respiratoire ? », souligne l'anesthésiste Raphaël Pitty, de l'UOSSM.
Read more9 avril 2018 - Le Figaro : Tollé international après une attaque chimique présumée en Syrie
Soixante morts et un millier de blessés. C'est le dernier bilan de l'attaque chimique présumée de samedi dans un quartier rebelle près de Damas en Syrie selon l'Union des Organisations de Secours et Soins Médicaux France (UOSSM) et le secouristes Casques blancs. Les faits ont eu lieu à Douma, seul secteur de la Ghouta orientale qui résiste.
Read more9 avril 2018 - Ouest France : Attaque chimique présumée en Syrie : plus de 60 morts et 1 000 blessés selon une ONG
Samedi 7 avril, une probable attaque chimique a eu lieu dans la ville rebelle syrienne de Douma, dans la Ghouta orientale, en proie depuis des années à des bombardements incessants. D'après l'ONG l'UOSSM France, plus de 60 personnes, dont beaucoup d'enfants, sont mortes et 1 000 autres blessées.
Read more9 avril 2018 - La Dépêche : Syrie : l'indignation après une attaque chimique présumée
S'il a toujours nié, ce n'est pas la première fois que le régime d'al-Assad est suspecté d'attaque chimique. Au total, des dizaines de cas ont été recensées. Parmi eux, l'attaque de la Ghouta au gaz sarin le 21 août 2013 fait entre 355 et 1 845 victimes. Le 4 avril 2017, c'est à Khan Cheikhoun, au nord-est du pays qu'une attaque au gaz est menée. Selon l'Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM), elle fait au moins 100 morts et 400 blessés parmi les civils.
Read more9 avril 2018 - France Soir : Attaque chimique dans la Ghouta: au moins 60 morts et plus de 1.000 blessés
Une probable attaque chimique a eu lieu samedi dans la ville rebelle syrienne de Douma, dans la Ghouta orientale, en proie à une sanglante offensive du régime. D'après l'ONG l'UOSSM France, plus de 60 personnes, dont beaucoup d'enfants, sont mortes et 1.000 autres blessées.
Read more8 avril 2018 - Le Monde : Attaque chimique en Syrie : Donald Trump et Emmanuel Macron veulent « une réponse commune »
Les casques blancs, une organisation de secouristes dans les zones rebelles, appuient les conclusions de SAMS, ainsi que l’UOSSM (Union des organisation de secours et de soins médicaux) et Syria Charity, une ONG humanitaire, qui dispose d’une équipe d’ambulanciers à Douma et parle de 55 morts en tout. L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), basé à Londres, avec un réseau d’informateurs dans toute la Syrie, a assuré n’être pas en mesure de « confirmer ou démentir » ces allégations.