Le chirurgien admet avoir dû faire le choix de laisser certains mourir pour en sauver d’autres. «C’est très dur car la famille est à côté et demande de l’aide. Dans ce cas j’amène le patient au bloc opératoire et je le mets dans un coin jusqu’à ce qu’il s’éteigne…» Dr Abdul Aziz, chirurgien à Alep, directeur de la Recherche au sein de l’UOSSM
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