31 mai 2018 - JIM : La faim invisible en Syrie a de vraies conséquences
L’insécurité alimentaire, les mauvaises habitudes alimentaires des enfants et des bébés, la propagation de maladies et d’infections infantiles, le déplacement des populations et la pauvreté, ont conduit à la propagation de la malnutrition en Syrie », décrit le docteur Feras Al Dbeis, responsable nutrition de l’Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM). Les conséquences de cette installation de la malnutrition pourraient s’observer dans plusieurs années : « cécité, retard de développement, handicaps physiques, mortalité infantile » sont à redouter, selon l’UOSSM.
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14 mai 2018 - Le Courrier : L’humanitaire malmené en Syrie
Que se passe-t-il au bout de la fragile chaîne humanitaire entre la France et la Syrie quand, derrière l’objectif affiché de lutter contre le financement du terrorisme, les banques françaises empêchent les virements des associations françaises en direction de la société civile syrienne? La réponse, lugubre, est apportée par le rapport «Défense d’aider: comment les institutions financières françaises entravent l’action humanitaire en Syrie», publié fin avril 2018 par le Collectif de développement et secours syrien (CODSSY), l’Association de soutien aux médias libres (ASML/Syria), Women Now for Development et l’Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM).
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24 avril 2017 - Le Monde : Les ONG pour la Syrie, victimes du renforcement de la lutte contre le financement du terrorisme
« Nos salariés locaux n’ont pas pu toucher leurs salaires pendant quatre mois. Ils ont décidé de fermer le centre. On les comprend », se désole Ammar Chaker, le secrétaire général de l’UOSSM France. En cause, les retards pris par la banque de l’UOSSM à opérer les virements. « La banque a souhaité vérifier que chaque salarié n’était pas sur une liste antiterroriste ou de type Interpol. Il a fallu fournir les pièces d’identité de tous les salariés à chaque virement. Or, on en a plus de 2 000. Autre chose inédite : la banque nous demande de justifier des dépenses qui n’ont pas encore été engagées »,poursuit M. Chaker.
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14 avril 2018 - L'Obs : Attaques chimiques de Douma : le rapport d'évaluation qui justifie les frappes françaises
Il n'y a donc pas une, mais une multiplication de "recours à des substances toxiques" qui ont fait l'objet de communications d'ONG "habituellement fiables", écrit le ministère : notamment la "Syrian American Medical Society" (SAMS) et "Union of Medical Care and Relief Organizations" (UOSSM).
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14 avril 2018 - L'Ardennais : Frappes occidentales contre la Syrie... Et après ?
«Où est le bénéfice d’une telle action des Occidentaux si cela ne mène pas à l’arrêt immédiat de toutes les violences et crimes perpétrés envers les populations syriennes?», s’insurge le médecin français Raphaël Pitti, un responsable de l’ONG française l’Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM).
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14 avril 2018 - Yahoo actualités : Les frappes en Syrie, une "punition" qui n'arrête pas le régime et ses alliés
"Où est le bénéfice d'une telle action des Occidentaux si cela ne mène pas à l'arrêt immédiat de toutes les violences et crimes perpétrés envers les populations syriennes?", s'insurge le médecin français Raphaël Pitti, un responsable de l'ONG française l'Union des organisations de secours et soins médicaux (UOSSM).
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12 avril 2018 - France Info : TRIBUNE. "Refuser de voir l'évidence est un déni d'humanité" : la colère des médecins de guerre face à l'immobilisme de la communauté internationale en Syrie
Face à cette nouvelle escalade de violence, le médecin de guerre Raphaël Pitti pousse un cri d'alarme : il appelle la communauté internationale à respecter le droit international humanitaire et reconnaître l'état de catastrophe humanitaire en Syrie. Avec ses collègues anesthésistes-réanimateurs Ziad Alissa et Anas Chaker, membres de l'Union des organisations de secours et des soins médicaux (UOSSM), ils décrivent une situation d'urgence extrême en Syrie et appellent les gouvernements à cesser leur "hypocrisie". Ils s'expriment ici librement.
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10 avril 2018 - Ouest France : En Syrie, l'emploi de l'arme chimique se banalise
Encerclée, soumise à un déluge de feu, l'enclave rebelle est inaccessible. Mais l'accumulation des éléments laisse peu de doute. Des dizaines de civils ont été retrouvés, foudroyés sur place, ce qui ne « colle pas » avec un bombardement classique. « Comment expliquer que 600, 700, 800 victimes arrivent à l'hôpital, avec la même symptologie respiratoire ? », souligne l'anesthésiste Raphaël Pitty, de l'UOSSM.
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9 avril 2018 - France Culture : En Syrie, beaucoup de questions sur des frappes contre un aéroport militaire après une attaque chimique présumée à Douma près de Damas
En attendant une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, aujourd'hui, à 15h à New York (21h heure de Paris), sur le terrain, dans la ville de Douma, la situation est dramatique, comme l'explique Anas Chaker, porte-parole de l'ONG médicale Union des organisations de secours et soins médicaux, joint par Christian Chesnot.
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9 avril 2018 - Le Figaro : Tollé international après une attaque chimique présumée en Syrie
Soixante morts et un millier de blessés. C'est le dernier bilan de l'attaque chimique présumée de samedi dans un quartier rebelle près de Damas en Syrie selon l'Union des Organisations de Secours et Soins Médicaux France (UOSSM) et le secouristes Casques blancs. Les faits ont eu lieu à Douma, seul secteur de la Ghouta orientale qui résiste.
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