
À bout de souffle !
Urgence COVID-19, de l’oxygène pour lutter contre l’épidémie en Syrie.
La meilleure réponse au COVID-19
Renforcer le système sanitaire en Syrie
Ahmed, malade chronique, a peur que l’aide s'essouffle.
Ahmed Moglai, 56 ans est atteint d’une maladie inflammatoire et d’une insuffisance cardiaque.
Je découvre le témoignageDr Ahmad, pneumologue, retient son souffle face au COVID-19.
Dans notre centre, nous avons mis en place deux tentes à l’entrée pour pouvoir isoler les possibles cas de Covid-19...
Je découvre le témoignageAhmad, réfugié, confiné dehors.
Ahmad, ancien insitituteur, vit sous une tente avec ses 3 enfants à Deir Hassan.
Je découvre le témoignageAbdul Rahman, multiple déplacé, atteint de tuberculose, à bout de souffle
En tant que malade de la tuberculose, je suis très inquiet face à l’arrivée du coronavirus.
Je découvre le témoignageProtéger les malades chroniques des camps de réfugié
« Je me porte bien mieux depuis que j’ai accès à de l’oxygène, mais je dois absolument continuer de recevoir l’aide de l'UOSSM, grâce à qui j’ai accès à cet oxygène et à des médicaments. Là où je vis, je ne peux pas appliquer les mesures préventives liées au COVID-19… Je sais juste que j’ai un besoin vital d’oxygène en priorité, c’est la seule chose qui me préoccupe. » -Ahmad Moglai, patient de l’UOSSM
Que fait l’UOSSM pour les patients comme Ahmad Moglai?
Identification et priorisation de nos actions sur les personnes à risque : environ 19 000 personnes souffrent de maladies chroniques à Idleb, dont
4 000 de problèmes respiratoires. Ces personnes, en plus de celles de plus de 65 ans, sont particulièrement à risque. L’UOSSM distribue aux
patients connus de ses services, via nos structures de santé, des kits d’hygiène, ainsi qu’un stock de trois mois et plus, des médicaments
nécessaires à leur traitement.
Dr Al Hassan, pneumologue, retient son souffle face au COVID-19
« Je suis le Dr Ahmad Al Hassan, pneumologue au centre Qourqanya de l'UOSSM. Dans notre centre, nous avons mis en place deux tentes à l’entrée pour pouvoir isoler les possibles cas de Covid-19, et nous faisons de la prévention auprès de la population. Mais les conditions misérables et précaires dans le nord-ouest laissent craindre une catastrophe en raison de la surpopulation dans les camps et de l'impossibilité de procéder au confinement dans ces conditions. C’est effroyable. » - Dr Ahmad Al Hassan, pneumologue UOSSM
Comment l’UOSSM accompagne le Dr Ahmad Al Hassan?
Les installations médicales et les travailleurs humanitaires du nord-ouest de la Syrie ont été préparés et formés au sujet des mesures
spécifiques au COVID-19, conformément aux directives de l'OMS. Nos centres de santé primaire sont équipés de tentes d’isolement afin
de pouvoir dépister et mettre à l’écart les patients suspects. Ces centres sont également équipés en générateurs d’oxygène.
Enfin, l’UOSSM distribue du matériel de protection spécifique (masques, gants, surblouses, etc.). Malgré tout, les besoins sont
énormes et cela reste insuffisant.
Soutenir les déplacés de guerre
« Je suis Ahmad Al Ahmed, déplacé de Maarrat Al Numan, j'ai 3 enfants, et je vis à présent dans un camp dans la région de Deir Hassan. Nous nous y sentions en sécurité, car nous étions éloignés du front et des zones de guerre. Mais ce n’est plus le cas aujourd'hui avec la pandémie de coronavirus, qui a frappé de nombreux pays. Notre système de santé est insuffisant pour y faire face.
Tous les pays du monde ont lancé des appels au confinement, ils disent “restez chez vous”. Pour nous, ce serait plutôt "restez dans votre tente"... C’est impossible. Parce que dans ces camps, les toilettes sont collectives, les réserves d'eau sont partagées, il n’y a pas de système d’égouts. Nous sommes installés dans des tentes qui ne protègent ni du froid de l'hiver, ni de la chaleur de l'été. Comment pouvons-nous rester confinés avec nos enfants ? Nous n’avons pas non plus la capacité d'acheter des masques ou des gants, ou même des produits désinfectants. C'est pourquoi nous demandons aux organisations de nous aider dans cette crise. »- Ahmad Al Ahmad, réfugié, ancien instituteur
Abdul Rahman, multiple déplacé, atteint de tuberculose, à bout de souffle
« Je m'appelle Abdul Rahman, je suis déplacé de la banlieue nord de Maarrat dans la province d’Idleb. Nous avons dû fuir, nous avons d’abord été au Mont Zawiya puis à Taftanaz, à Idleb, à Afrine enfin à Qourqaniya. Au départ, j'avais une infection respiratoire. Après avoir consulté des médecins, ils m'ont diagnostiqué une pneumopathie. Cela fait trois mois que je prends un traitement et je me sens beaucoup mieux. Malheureusement, avec ma famille, nous vivons à 13 personnes dans une seule pièce. Après des analyses plus poussées, on m’a diagnostiqué une tuberculose et je me suis rendu au centre de Qourqaniya de l’UOSSM où je suis suivi aujourd’hui. En tant que malade de la tuberculose, je suis très inquiet face à l’arrivée du coronavirus. Les soignants de l’UOSSM m’ont donné des instructions strictes pour éviter tous les risques de contamination. » - Abdul Rahman Abu Mohammad, déplacé de guerre.
Nos actions :
SECOURIR | SOIGNER | SOUTENIR
L’UOSSM s’engage depuis 9 ans pour permettre le droit à la santé là où l’accès aux soins est bafoué dans les camps de déplacés internes, dans les zones urbaines et rurales à travers la Syrie et auprès des réfugiés dans les pays limitrophes: Turquie, Jordanie, Liban, Irak.
À bout de souffle !
Urgence COVID-19, de l’oxygène pour lutter contre l’épidémie en Syrie.
50€
Je participe à l’achat de 20 masques N95 pour le personnel soignant et leurs patients dans le nord de la Syrie.
JE FAIS UN DON150€
J’offre 10 kits d’hygiène qui seront distribués dans les camps de réfugiés et auprès des patients les plus vulnérables.
JE FAIS UN DON500€
J’offre un générateur d'oxygène portable qui permet de desservir 1 à 2 lits dans les centres de santé et hôpitaux et aider les patients à respirer.
JE FAIS UN DONUrgence COVID-19
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